Appelons cela le syndrome d'Orphée et Eurydice
Il y a le monde de l'au-delà, du retour à la nature originelle, à la matière brute et il y a le monde des vivants, de leurs actions, loisirs, amours. Entre les deux coule le Styx, que l'on
franchit rarement deux fois.
J'en suis là !
Comment me révolter ?
En affirmant que je suis bien vivant, en le prouvant par une série de "selfies", en suivant mon ombre jusqu'au point de rupture, jusqu'au milieu du pont qui franchit... le Styx?